La Communication Résiliente

Parce que la réputation de votre entreprise est dans les mains de tous les interlocuteurs de son écosystème, nous avons imaginé le concept de communication résiliente, inspirée des principes de communication de crise ET des techniques marketing-communication, interne et externe. 

La Communication Résiliente est une stratégie de communication de crise long terme englobant l’ensemble de l’écosystème de l’entreprise. Elle s’appuie sur une préparation proactive, comprenant un apprentissage continu et évolutif des techniques et bonnes pratiques ainsi que des programmes d’engagement collaboratifs destinés à stimuler l’adaptabilité au changement dans un sentiment d’appartenance.

Le but ultime est de renforcer une réactivité et une vigilance cohésives de tous les interlocuteurs face aux turbulences et aux menaces.

Montrez votre leadership en nourrissant une confiance durable de tous les acteurs de l’écosystème, quoi qu’il arrive.

Les 6 éléments de la communication résiliente

La communication résiliente s’appuie à la fois sur la stratégie de croissance,
les résultats de l’analyse de risque et le plan de gestion de crise.

Que ce soit pour gérer une crise ou pour organiser une stratégie de communication de résilience, une équipe dédiée est nécessaire, avec des rôles et responsabilités bien réparties.

Elle se composera de représentants des principaux départements de l’entreprise et aura en charge :

  • la définition et la mise en place de la stratégie de communication résiliente, intégrant objectifs et KPIs
  • la définition et la mise à jour du plan de gestion de crise
  • la conception, la mise en place et le suivi des progrès des différents programmes lancés dans l’écosystème
  • le monitoring des signaux d’alerte réputationnelle.


Sur une cartographie pointue des rôles les plus à risque dans l’écosystème, basée sur l’analyse du flux des données les plus sensibles de l’entreprise, un programme de simulations et de formation pourra être définie. 

  • Simulations basées sur des scénarios (exercices table-top, jeu de guerre cyber, crise sanitaire, etc.)
  • cybertrainings techniques pour les équipes informatiques (analyse malware, sécurité réseau, gestion des accès, etc.)
  • cybertrainings dédiés à des rôles spécifiques (finance, RH, marketing, logistique, etc.)
  • préparation solide du/de la porte-parole
  • sensibilisation aux pratiques des médias 
  • apprentissage des meilleures pratiques (IA, réseaux sociaux, téléphone mobile, les applications, etc.) avec des conseils sur la mise en place de règles et de processus, conforme à la législation.
  • etc.

Ce n’est pas au moment d’une crise ou d’une cyberattaque qu’il faut travailler ses relations avec les interlocuteurs de votre écosystème sur le thème de la sécurité. Il faut la penser en amont auprès de chaque acteur :

  • clients
  • fournisseurs
  • partenaires, y compris les universités, les banques et les assurances
  • agences (PR, publicité, communication, etc.)
  • influenceurs (leaders d’opinion, think tanks, CCIs, politiciens, etc.)
  • media (presse écrite, radio, TV, journalistes indépendants)
  • autorités (locales, régionales, nationales, supranationales) – fiscalité, emploi, cybersécurité, charges sociales, etc.
  • investisseurs

L’objectif est de s’accorder sur les tactiques, processus et flux de communication pour faire bloc contre les menaces et les risques de rumeur, de désinformation… et donc, de perte de confiance. 

Comment ? Par des co-simulations, des co-formations, des co-informations, des accords, des processus sécurisés.

Biais de confirmation, de surconfiance, de simple exposition, de survivant, d’escalade d’engagement, etc.

Tous ces biais cognitifs nous amènent de manière inconsciente à des raccourcis et des réactions inappropriés, automatiques, qu’exploitent les hackers, les marketers, les fraudeurs, etc. Les biais sont l’arme de la manipulation qu’ils utilisent, notamment en social engineering.

Mais nous-mêmes, leaders, pouvons être amenés à prendre de mauvaises décisions, car aveuglés par ces biais. Reste la question : comment atténuer leur effet sur les comportements à risque ?

Comment mieux gérer les biais ? Car, il est impossible de les éliminer. Ils sont notre survie animale.

Au-delà de la phase de sensibilisation et de formation, il y a une véritable stratégie mesurable à adopter avec des garde-fous et des points de mesure concrets, soutenant une culture d’entreprise qui favorise la vigilance dans les hypothèses menant aux prises de décision. 

Des programmes d’engagement personnalisés auprès des interlocuteurs de l’entreprise, internes comme externes.

  • les hauts-profils
  • Les rôles les plus à risque
  • les meilleurs cyberpraticiens, techniques et non-techniques, internes et externes
  • les lanceurs d’alerte
  • etc.

Valoriser. Ecouter. Récolter.

Des rapports pour mesurer les progrès sur les programmes mis en place par rapport aux objectifs fixés.

Des tableaux de bord pour détecter les dérives, les signes d’alerte, les tendances en cybersécurité, l’évolution des lois et leur impact sur les opérations et la sécurité, etc.

L’approche Oz’n’gO

Notre objectif est de vous apporter une solution sur mesure. Nous la construisons à partir de vos besoins et en nous appuyant sur notre expérience et nos compétences. Quand un cas est un nouveau, nous avons la capacité d’inventer, créer, adapter.

Nous travaillons sur une base projet mais sur certaines demandes très spécifiques, nous appliquons un taux horaire ou journalier.

Plus une seconde à perdre pour démarrer votre transformation résiliente

Nous Osons, Nous Agissons, Nous Choyons

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