La Communication Résiliente

Dans un environnement sous tension, où l’évolution de l’innovation technologique s’accélère et la pression économique s’intensifie, amplifiant et complexifiant les menaces, réagir vite et bien ne suffit plus.

Il faut renforcer la résilience de l’entreprise de manière collective dans une dynamique cohésive de vigilance partagée.

La communication de résilience est une approche inédite, conçue par Oz’n’gO, pour aider les organisations à stimuler l’engagement cyber, sans lequel un dispositif ne tient pas.

Cet engagement doit œuvrer à tous les niveaux hiérarchiques ET dans tout l’écosystème. La réputation d’une organisation repose sur chaque acteur interne et externe.

L’engagement durable naît d’une culture. La communication de résilience nourrit la cyberculture globale qui s’appuie sur une conscience individuelle et collective de responsabilité cyber.

Si la communication de crise est le bas armé de l’urgence, la communication de résilience est la stratégie d’engagement collectif qui renforce durablement l’impact de la défense.

Les 4 piliers de la communication résiliente

La communication de résilience repose sur une vision et une stratégie de cyberculture durable qui s’appuie sur 4 piliers interdépendants.

UN PILOTAGE RéSOLUMENT TRANSVERSAL

Des décisions cohérentes mises en place rapidement dans l’ensemble de l’écosystème de l’organisation.

Un comité regroupant les fonctions clefs de l’organisation (IT, Direction, RH, Marketing, Finance, etc.) mais aussi un représentant des collaborateurs, sans oublier les acteurs stratégiques externes.

CYBERCULTURE positive, agile, incarnée 

Faire de chaque acteur un capteur attentif, lucide, capable de prévenir des crises invisibles, adapter le bon comportement, le partager.

De la détection tant en amont qu’en aval, de signaux faibles, en passant par la sensibilitsation et la formation à des compétences techniques, comportementales et psychologiques.

UN RESEAU-RELAI DÛMENT FORMé

Faire le lien entre la direction stratégique et le terrain, et éviter les décalages silencieux, qui peuvent fragiliser.

Des sentinelles internes et externes capables d’identifier et d’analyser des signaux faibles et récits déstabilisants, et de jouer le rôle de médiateurs du réel entre la gouvernance et le terrain.

monitoring dynamique & collaboratif

Piloter la résilience comme un processus vivant, connecté à la réalité pour l’ancrer dans la durée auprès des différents groupes d’acteurs.

Alimenté par des retours du terrain et ajusté en continu, la mobilisation, la confiance, la vigilance et les tensions potentielles sont suivies en temps réel.

4 étapes pour poser les bases

En 4 à 8 semaines, il est possible d’activer une structure opérationnelle, sensibilisée à la détection des signaux faibles,
capable de mobiliser les bons relais et de coordonner une réponse collective solide.

PHASE 1 – ALIGNEMENT STRATEGIQUE (SEM 1-2)
  • Entretien avec la direction et les fonctions clés
  • Identification des enjeux spécifiques à l’organisation et parties prenantes
  • Cadrage de la mission (priorités, risques, acteurs impliqués, etc.)
  • Constitution du noyau du comité de pilotage
  • Premiers échanges avec les partenaires stratégiques ou critiques
  • Ebauche de la vision et de la stratégie
  • Définition des indicateurs de vigilance à suivre (base du baromètre et tableaux de bord) 
  • Définition du socle Threat Intelligence

Objectif : ancrer la démarche dans la réalité de l’organisation de manière pragmatique.

PHASE 2 – POSE DU PILOTAGE OPERATIONNEL (SEM 3 -4)
  • Activation du comité de pilotage et répartition des rôles et responsabilités
  • Cartographie des relais internes et externes à mobiliser
  • Identification des publics critiques à former, sensibiliser
  • Lancement d’un calendrier d’actions structurantes
  • Construction du tableau de bord dynamique et collaboratif
  • Définition des premiers outils communs (charte, kits, etc.)
  • Préparation du cadre de feedback et amélioration continue

Objectif : structurer la gouvernance, créer un point de coordination clair, organiser les flux de partage.

PHASE 3 – MOBILISATION DU RESEAU DE VIGILANCE (SEM 5-6)
  • Création de modèles types de sentinelles comme références
  • Sélection des premières sentinelles internes et relais externes de confiance (services clés, profils transverses, etc.)
  • Création des outils Sentinelles (kits, canaux de communication, plateforme de partage, KPIs, etc.)
  • Mise en place du premier module de formation (détection des signaux faibles, écoute active, analyse des récits, négo, posture, etc.)
  • Création de la communauté avec mission, responsabilités, calendrier et organisation de travail
  • Déploiement d’un cadre de veille terrain 
  • Intégration des premiers retours dans le(s) tableau(x) de bord collaboratif(s)

Objectif : Initier un réseau actif, crédible, formé et outillé, et nourrir le pilotage en temps réel.

PHASE 4 – PRENIERS ANCRAGES CONCRETS (SEM 7-8)
  • Lancement d’actions visibles (campagnes internes ciblées, newsletters, affichage, etc.)
  • Sessions de sensibilisation ou ateliers flash pour élargir la mobilisation 
  • Organisation de points relais interservices
  • Réalisation de premières simulations ciblées ou atelier de mise en situation
  • Recueil structuré et intégration des premiers retours dans le tableau de bord
  • Recommandations pour la phase de consolidation

Objectif : faire vivre la démarche dès les premières semaines et créer une dynamique collective.

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Les atouts majeurs de la communication de résilience

La communication de résilience agit en profondeur, en agissant sur
l’engagement, la confiance, la cohésion et la vigilance

Passer de l’intention à l’action ? 

Explorons ensemble les voies à prendre.

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